Fin juillet 2022, alertés par le maire, les services vétérinaires de l’Isère sont intervenus dans une ferme à l’abandon à la suite du décès de l’éleveur.

7 bovins (5 vaches et deux taureaux de race abondance et croisés charolais) ont été découverts en bien triste état. Disposant de peu de nourriture et d’eau, les animaux étaient attachés et piétinaient dans leurs excréments. Certains avaient des onglons très longs qui ne leur permettaient pas de marcher correctement. 3 bovins avaient des chaînes d’attache incrustées très profondément dans leur encolure.

Les animaux ont été retirés et placés en urgence auprès de l’OABA.

Nous attendons désormais, via le notaire chargé de la succession, la décision des héritiers. Souhaiteront-ils récupérer ces animaux et payer les soins et les frais sanitaires (aucune prophylaxie réglementaire n’avait été faite depuis 5 ans…) ? Préféreront-ils les céder à l’OABA afin que nous puissions les intégrer dans notre troupeau du bonheur ?

Ces animaux l’ont bien mérité ! Les parages et les opérations délicates pour enlever les chaînes de leurs chairs leur permettent désormais de vivre en liberté à l’air pur.

Pied atrophié d'un bovin
  • Facebook
  • Twitter
  • LinkedIn

Fin juillet 2022, alertés par le maire, les services vétérinaires de l’Isère sont intervenus dans une ferme à l’abandon à la suite du décès de l’éleveur.

Pied atrophié d'un bovin
  • Facebook
  • Twitter
  • LinkedIn

7 bovins (5 vaches et deux taureaux de race abondance et croisés charolais) ont été découverts en bien triste état. Disposant de peu de nourriture et d’eau, les animaux étaient attachés et piétinaient dans leurs excréments. Certains avaient des onglons très longs qui ne leur permettaient pas de marcher correctement. 3 bovins avaient des chaînes d’attache incrustées très profondément dans leur encolure.

Les animaux ont été retirés et placés en urgence auprès de l’OABA.

Nous attendons désormais, via le notaire chargé de la succession, la décision des héritiers. Souhaiteront-ils récupérer ces animaux et payer les soins et les frais sanitaires (aucune prophylaxie réglementaire n’avait été faite depuis 5 ans…) ? Préféreront-ils les céder à l’OABA afin que nous puissions les intégrer dans notre troupeau du bonheur ?

Ces animaux l’ont bien mérité ! Les parages et les opérations délicates pour enlever les chaînes de leurs chairs leur permettent désormais de vivre en liberté à l’air pur.